5 avril 2015
Dialogues intimes
Si je pouvais comprendre tes pensées
Si tu pouvais comprendre les miennes
Nous aurions de longs dialogues intimes
Comment fut ta nuit
Pourquoi m’as-tu choisie
Regarde ces fleurs
Ton corps ne te pèse pas trop
J’ai lu un drôle de livre
Que penses tu de l’à venir
Le monde ira donc toujours ainsi
Qui veillera sur toi quand je ne serai plus
Non le reportage comme le potage est insipide
Et dire qu’il n’y a pas un lieu pour se retrouver dans l’infini.
Nous allons silencieuses côte à côte
L’une à l’autre attachée.
Reliées par une laisse.
© Camille Pioz 120906
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